Beauté biotechnologique et longévité de la peau avec AV Laboratories
Invités : Ami Mezezi, chef de la direction, AV Laboratories, et Josh Smith, chef du marketing, AV Laboratories
Animateur : Oliver Chen, analyste, Produits de détail et de luxe, TD Cowen
Nous accueillons le chef de la direction, Ami Mezezi, et le chef du marketing, Josh Smith, d’AV Laboratories pour découvrir comment ils combinent la biotechnologie et la médecine régénératrice aux soins efficaces de la peau. AV Laboratories est d’abord une société de biotechnologie, qui se distingue par une intégration verticale complète : le développement, les tests et la fabrication se font à l’interne. SOM3 est la combinaison de nutriments moléculaires exclusive à AV Laboratories qui fournit des acides aminés et des cofacteurs ciblés pour soutenir le métabolisme et la longévité cellulaires.
| Chapitres: | |
|---|---|
| 1:00 | Histoire de fondation : la scientifisation de la beauté grâce à la nutrition moléculaire |
| 6:45 | Leçons tirées des cellules souches et de la puissance de l’algorithme du simplex |
| 7:45 | Ce qui distingue AV Laboratories : solutions de longévité proactives et réactives |
| 10:00 | Produits vedettes : sérum et crème légère pour le visage |
| 13:00 | La précision compte : comment trouver les bonnes concentrations d’éléments nutritifs |
| 16:00 | Intégration verticale : essais, production et fabrication effectués à l’interne |
| 21:00 | Établir un lien de confiance et une valeur à vie grâce à des essais cliniques rigoureux |
| 23:00 | Personnalisation et avenir des soins de la peau guidés par l’IA |
| 27:00 | Distribution directe aux consommateurs : distribution simplifiée et axée sur le consommateur |
| 30:00 | Démystifier les exosomes et les produits biologiques : risques et effets en aval |
Ce balado a été enregistré le 30 juillet 2025.
Locutrice 1 :
Bienvenue à Insights de TD Cowen. Ce balado réunit des penseurs de premier plan qui offrent leur éclairage et leurs réflexions sur ce qui façonne notre monde. Soyez des nôtres pour cette conversation avec les esprits les plus influents de nos secteurs mondiaux.
Oliver Chen :
Les soins de la peau scientifiquement éprouvés, la biotechnologie au service des soins personnels… C’est l’avenir de la beauté, et il s’annonce radieux. Bienvenue à Visionnaires du commerce de détail, un balado qui parle d’idées et de gens visionnaires. Je m’appelle Oliver Chen. Je suis analyste, Produits de détail et de luxe et Nouvelles plateformes pour TD Cowen. Dans cet épisode, nous allons découvrir AV Laboratories, une marque de soins de la peau de luxe axée sur la longévité, qui innove avec des solutions fondées sur la science et la cosmétique moléculaire. AV Laboratories s’inspire de plus de 25 ans de science des cellules souches. Cette marque associe la biotechnologie de pointe à des rituels de soins haut de gamme. D’ailleurs, je l’utilise régulièrement, et j’en ai même vaporisé juste avant d’enregistrer ce balado. Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Ami Mezezi, cofondateur et PDG d’AV Laboratories, ainsi que Josh Smith, directeur du marketing. Ami est biologiste moléculaire et entrepreneur en biotechnologie. Il compte plus de 20 ans d’expérience en médecine régénérative. Avant de lancer AV Laboratories, il a cofondé EvolveGene et a entre autres dirigé des projets internationaux en biotechnologie axés sur la thérapie cellulaire, la longévité et la recherche génétique.
Josh Smith, directeur du marketing d’AV Labs, est aussi avec nous aujourd’hui. Josh est un stratège de marque chevronné. Pendant 25 ans, il a œuvré dans des secteurs variés comme la technologie, l’automobile, le divertissement et la beauté. Aujourd’hui, il est responsable du développement et du marketing d’AV Labs. Ami et Josh, c’est un plaisir d’être ici en votre compagnie. Merci d’avoir accepté notre invitation pour ce balado.
Ami Mezezi :
Merci de nous recevoir!
Oliver Chen :
Ami, pour commencer, on aimerait entendre l’histoire de la création d’AV Laboratories et savoir ce qui distingue votre marque de soins dermatologiques éprouvés par la science des autres.
Ami Mezezi :
Comme vous l’avez dit, je suis biologiste moléculaire, tout comme une grande partie de l’équipe d’AV Laboratories, dont Monica. Nous venons d’EvolveGene et de LifeGlobal. EvolveGene était une société spécialisée dans le domaine de la génétique, tandis que LifeGlobal était une société spécialisée dans le domaine de la médecine régénérative. Concrètement, notre travail consistait à formuler et à fabriquer des solutions permettant de cultiver des cellules souches utilisées dans des thérapies cellulaires humaines. Cette expérience nous a permis de vraiment comprendre les mécanismes moléculaires complexes et les processus de signalisation cellulaire propres à ces types de cellules complexes. Quand nous avons quitté LifeGlobal en 2018, on s’est demandé : « Quelle est la prochaine étape? ». Et c’est l’industrie des soins de la peau qui a retenu notre attention. Nous y avons observé une tendance qui s’éloigne – sans les abandonner totalement – d’ingrédients comme l’acide hyaluronique ou les extraits d’algues, pour se tourner vers des solutions biologiques plus puissantes comme les exosomes, les peptides et les facteurs de croissance.
Il s’agissait véritablement d’un processus qui rendait la beauté scientifique, et ces molécules étaient des ingrédients avec lesquels nous avions travaillé et que nous comprenions, nous comprenions leurs effets sur les cellules. Et ce ne sont pas des molécules anodines. Elles ont des effets de signalisation cellulaire, des effets sur l’expression génétique. Ce sont, à nos yeux, des ingrédients de qualité pharmaceutique. Nous avons donc trouvé, grâce à notre expérience, ce qui nous semblait être des solutions pouvant réellement s’appliquer à cette nouvelle tendance beauté. De plus, selon nous, ces solutions sont plus sûres. C’est un sujet que nous pourrons approfondir un peu plus tard, mais il existe des effets potentiels en aval que les gens ne prennent pas vraiment en compte dans la beauté de ces molécules. Donc, dans l’ensemble, nous avons constaté que notre expertise et nos connaissances avaient leur place, et c’est ce qui nous a amenés, après avoir quitté la société, à développer SOM3, l’ingrédient de base présent dans tous les produits de AVL. SOM3, c’est un cocktail d’acides aminés qui renforce la cellule en lui donnant tout ce dont elle a besoin sur le plan moléculaire. Il s’agit donc véritablement d’un nutriment métabolique.
Oliver Chen :
Ami, si on simplifie au maximum, comment la science s’inscrit-elle dans votre travail? Qu’est-ce que vous avez appris et comment l’avez-vous appliqué aux soins de la peau?
Ami Mezezi :
Pour nous, tout part de la nutrition des cellules, à la base. Grâce à nos travaux antérieurs chez LifeGlobal, nous avons découvert que si vous utilisez la bonne quantité d’acides aminés, de vitamines et de cofacteurs, et pas seulement en termes de quantité, mais aussi en termes de concentrations, et que vous les rendez biodisponibles pour les cellules, en faisant en sorte que celles-ci puissent réellement les absorber, vous n’avez pas besoin d’utiliser beaucoup de produits biologiques de qualité pharmaceutique très puissants qui se trouvent dans les soins de la peau et qui ont ces effets potentiels en aval. C’est exactement ce que fait SOM3 : c’est un cocktail moléculaire entièrement défini, qui fournit aux cellules tous les nutriments dont elles ont besoin pour être renforcées et pouvoir produire du collagène, de l’élastine et du NAD+, qui stimulent de nombreux mécanismes moléculaires contribuant à lutter contre le vieillissement et à prévenir de nombreux effets indésirables liés à l’âge. C’est vraiment une solution proactive, et non réactive.
Oliver Chen :
Très intéressant. Racontez-nous une anecdote à propos d’EvolveGene. Qu’avez-vous fait là-bas qui a vraiment été un déclencheur pour la découverte et le développement de SOM3?
Ami Mezezi :
En fait, il y avait deux sociétés : LifeGlobal et EvolveGene. Chez LifeGlobal, on développait des solutions pour cultiver des cellules souches. Ces cellules étaient destinées à des thérapies cellulaires, et elles devaient pousser dans ces solutions. Pour y arriver, il fallait identifier tout ce dont elles avaient besoin pour survivre et se développer. C’est ce qui nous a vraiment permis de comprendre quelles molécules sont nécessaires à ces cellules et à quelles concentrations. La technique que nous utilisons dans SOM3 s’appelle « optimisation du simplexe ». Le terme est un peu technique, mais en gros, c’est une méthode qui permet de déterminer ce dont les cellules ont besoin à des concentrations précises.
Oliver Chen :
Josh, je me tourne vers vous. Vous avez beaucoup d’expérience dans l’univers des marques de beauté. Qu’est-ce qui rend SOM3 spécial? Qu’est-ce qui distingue AV Laboratories? Quelle est l’histoire derrière tout ça?
John Smith :
Eh bien, je pense qu’aujourd’hui, il y a un grand fossé entre ce que la clientèle aimerait avoir et ce qu’elle trouve sur le marché. Comme Ami le disait, habituellement quand on parle de soins de la peau, on est dans une logique réactive : vous avez un problème, et un produit va vous aider à le résoudre. Nous, on a une approche légèrement différente. On voit apparaître une vraie convergence entre beauté, bien-être et science; les gens recherchent maintenant des produits de soins qui vont les accompagner dans la durée. Ce qui rend AVL et AVL SOM3 si puissants, c’est justement ça : ils comblent ce fossé. AVL SOM3 est l’un des tout premiers produits de longévité cutanée éprouvés par la science, testés, sûrs et efficaces. Quand on pense au développement de nos produits, la philosophie est claire chez AVL : on veut garder les choses simples.
Pour l’instant, nous n’avons que cinq produits dans notre gamme, mais nous allons en lancer d’autres. Les rituels de soins sont simples à suivre au quotidien. Et surtout, nos produits intègrent cet élément clé de longévité qui nourrit la peau en profondeur. Voici un exemple concret : quand on est dans la vingtaine ou dans la trentaine, la peau se renouvelle environ tous les 28 jours. Mais dans la cinquantaine, ce cycle peut s’étirer jusqu’à 75 jours.
C’est là qu’intervient SOM3 : cette technologie brevetée apporte à votre peau tout ce dont elle a besoin, et c’est là toute sa puissance. Ce qui la rend si unique, c’est qu’elle permet à votre peau de produire naturellement du collagène (qui structure la peau), de l’élastine (qui lui donne sa souplesse) et du NAD+, cette molécule dont on entend beaucoup parler en ce moment, mais qui ne peut pas être absorbée par voie topique. AVL SOM3 permet donc à votre peau de produire naturellement du NAD+, et c’est ce qui lui donne l’énergie nécessaire pour se régénérer. Donc, contrairement aux approches traditionnelles des soins de la peau, qui visent à traiter un problème spécifique, nos produits sont conçus pour vous accompagner tout au long de votre vie, quel que soit votre type de peau, que vous soyez un homme ou une femme. Ces différences n’ont pas vraiment d’importance, car au niveau cellulaire, nous sommes tous plus semblables que différents. C’est donc une approche vraiment unique de la façon dont les soins de la peau peuvent évoluer.
Oliver Chen :
Josh, quel est votre produit phare, et quelles en sont les principales caractéristiques dans le cadre de cette approche simple?
John Smith :
En fait, on a deux produits phares. Le premier, c’est le sérum pour le visage que l’on peut utiliser au quotidien. Tous nos produits ont ce que nous appelons une formulation à double fonction. Vous retrouvez donc AVL SOM3 dans toute la gamme de produits, ainsi qu’un mélange d’actifs de qualité clinique. Et ce qui est formidable, c’est que normalement, un produit contient un ou deux actifs, mais le sérum pour le visage en contient 16 de qualité clinique. Nous travaillons avec Sylwia, une formulatrice exceptionnelle. Elle a conçu une combinaison de tous ces actifs, qui agissent sur votre peau et ciblent des problèmes cutanés spécifiques. Comme nous le savons tous, notre peau n’est pas statique. Elle change constamment; nous sommes donc toujours exposés à toute une série de facteurs environnementaux comme la pollution, la poussière, mais aussi les saisons. Le passage du froid au chaud entraîne des changements importants pour votre peau.
Et puis, il y a aussi les changements hormonaux, qu’ils soient cycliques ou qu’ils surviennent à différents moments de notre vie. L’avantage d’un produit axé sur la longévité, c’est que l’on bénéficie de tous ces actifs cliniques dans un produit simple à utiliser. C’est là tout l’intérêt du sérum. Aussi, voici un autre point très intéressant concernant les crèmes pour le visage. En tant que scientifiques, lorsqu’on parle de soins de la peau axés sur la longévité, on sait que les gens doivent utiliser le produit chaque jour. On sait que les résultats seront meilleurs si les gens l’utilisent quotidiennement, mais surtout s’ils commencent à l’utiliser pendant des mois et des années. Je dis toujours que nous avons passé autant de temps à développer AVL SOM3 et sa science, c’est-à-dire plus de cinq ans, mais nous avons passé tout autant de temps à nous assurer qu’il soit agréable à utiliser. Quand vous rentrez chez vous, vous avez envie d’appliquer votre crème hydratante. Elle est si légère, si agréable, que vous aurez envie de l’utiliser tous les jours. Et nous savons qu’une utilisation prolongée vous permettra d’obtenir des résultats durables.
Oliver Chen :
Ami, pourquoi est-il difficile pour la concurrence de reproduire AVL SOM3?
Ami Mezezi :
SOM3 est selon nous l’une des solutions pour la peau les plus avancées sur le marché aujourd’hui. Il a fallu cinq ans pour le développer, mais il s’appuie en réalité sur 20 ans de recherche scientifique dans le domaine de la médecine régénérative et sur les travaux que nous avions déjà menés sur certaines des cellules les plus sensibles utilisées à des fins de thérapie cellulaire. Ce produit a donc été développé à l’aide d’une méthode appelée « optimisation du simplexe », qui est en réalité un outil permettant de déterminer la concentration exacte de nutriments et de molécules dont les cellules ont besoin. C’est un outil mathématique très complexe que nous avions déjà utilisé auparavant et que nous avons appliqué pour la première fois aux soins de la peau. C’est une approche vraiment unique, car elle n’ajoute aucun produit biologique farfelu comme des exosomes, des peptides ou des facteurs de croissance; elle utilise plutôt des acides aminés, des cofacteurs et des vitamines, mais dans les concentrations exactes dont les cellules ont besoin.
Nous avons déjà constaté dans le cadre de nos travaux que le simple fait de suivre cette approche peut avoir un impact considérable sur les cellules, sans qu’il soit nécessaire d’ajouter certains de ces produits biologiques qui pourraient avoir des effets négatifs en aval. Nous avons 20 ans d’expérience derrière nous chez LifeGlobal, et une équipe exceptionnelle de scientifiques spécialisés en cellules souches et en médecine régénérative. Je pense que certaines des découvertes que nous avons faites dans le cadre de nos travaux antérieurs sont manifestement difficiles à reproduire. Je ne dirais pas que notre formule est un remède miracle, mais tout est question de proportions et de concentrations, et c’est là qu’intervient le travail d’optimisation du simplexe. Il s’agit de comprendre, au niveau le plus infime, ce dont les cellules ont besoin et ce dont elles n’ont pas besoin.
Notre approche est unique, mais aussi, comme Josh l’a souligné, plus douce que ce que l’on voit dans l’industrie actuellement, où l’on utilise beaucoup de ces ingrédients biologiques puissants. Je ne veux pas dire que nous ne nous intéresserons pas à certains d’entre eux à l’avenir. Cependant, nous considérons AVL comme une société de biotechnologie et nous pensons que toutes les sociétés de soins de la peau doivent, par nature, agir comme tel. Il faut mener des études, analyser les choses au niveau moléculaire, tester les produits au niveau cellulaire, puis effectuer tous les tests in vivo. Il faut passer par toute cette série de tests, de recherches et d’examens, et mener des essais cliniques. Bref, ce n’est que lorsque nous estimons que tous ces critères sont remplis et que les produits sont sûrs que nous les incluons dans notre gamme.
À l’heure actuelle, nous sommes satisfaits de certains produits, mais nous ne sommes pas convaincus par beaucoup d’autres qui sont proposés. Cependant, nous innovons constamment et nous étudions différentes formules. Je pense qu’un aspect vraiment unique d’AVL, et que je voudrais mentionner, est son infrastructure. Nous avons constitué cette société comme une biotech. Autrement dit, nous fabriquons nous-mêmes la solution à base de SOM3 dans notre propre usine homologuée par la FDA, ce qui nous permet de fabriquer des produits répondant à des normes réglementaires strictes et de garantir que tout ce que nous annonçons se trouve bien dans le produit.
Nous réalisons nos propres tests dans notre centre de tests moléculaires au Colorado, dirigé par le Dr Kevin Flynn, notre directeur scientifique, puis nous effectuons nous-mêmes tous les tests cliniques à petite échelle dans notre propre centre en Pologne. En résumé, nous avons mis en place une infrastructure digne d’une biotech, et nous fonctionnons comme tel. Nous ne faisons pas simplement appel à un sous-traitant pour obtenir une solution et la mettre sur le marché. Nous formulons tout nous-mêmes, nous testons tout nous-mêmes et nous fabriquons tout nous-mêmes. Et c’est, je crois, l’un des grands avantages d’AVL par rapport à beaucoup d’autres concurrents sur le marché.
Oliver Chen :
Ami, c’est un excellent point. Mais concrètement, qu’est-ce que ça veut dire être une société de biotechnologie pour vous et Josh?
Ami Mezezi :
Pour moi, être une société de biotechnologie, comme je l’ai dit, c’est d’abord réaliser soi-même les tests. Ensuite, c’est fabriquer soi-même ses produits. Et troisièmement, c’est vérifier tous les points que j’ai mentionnés. Il s’agit de mener des essais cliniques, d’avoir une équipe de scientifiques qui travaillent selon des normes réglementaires très strictes. Une chose est sûre à propos de l’industrie des soins de la peau, c’est qu’elle est très peu réglementée. Nous venons d’un monde où les dispositifs médicaux sont très réglementés dans le domaine de la médecine régénérative. Nous ne pouvons pas simplement mettre des produits sur le marché dans ce domaine. Une fois que nous les avons conçus, nous devons les soumettre à toute une série de tests cliniques, de tests moléculaires, de tests in vitro et de tests de stabilité avant de les commercialiser. Rien de tout ça n’est exigé dans l’industrie des soins de la peau. Personne ne doit rendre de comptes aux organismes de réglementation.
Mais en tant que société de biotechnologie, nous voulons fonctionner comme si c’était le cas, nous voulons fonctionner de la même manière que dans les sociétés précédentes. Et je pense que, d’une manière générale, c’est cette infrastructure et ce niveau d’exigence élevé qui font de nous une biotech. L’autre aspect important est celui de l’innovation. Il faut toujours chercher à innover. Nous testons constamment de nouvelles molécules, de nouvelles formules, de nouvelles itérations de SOM3. Je pense que dans deux ans, AVL sera différente d’aujourd’hui. C’est simplement parce que nous cherchons constamment à innover. Je pense que, d’une manière générale, c’est ce qui fait de nous une biotech et ce que nous cherchons à être.
John Smith :
Pour ajouter un point, je pense qu’être une biotech dans le domaine des soins de la peau est un choix, et c’est un poids très lourd que nous nous imposons. L’objectif de la marque a toujours été très simple, c’est-à-dire apporter les meilleurs soins possibles à votre peau. Actuellement, il n’existe pas de fontaine de jouvence. Nous aimerions tous qu’il y en ait une, mais la meilleure approche pour permettre à des produits de ce type d’arriver sur le marché est d’utiliser la science. Et c’est la voie que nous avons toujours suivie. Nous avons toujours suivi la science. Pour nous, tout commence toujours au niveau moléculaire. Nous voulons vraiment comprendre comment les ingrédients et la technologie fonctionnent réellement, et nous le vérifions. Comme Ami l’a mentionné plus tôt, nous avons un centre de recherche moléculaire au Colorado, dirigé par le Dr Kevin Flynn. Une fois que tout a été validé, nous commençons à fabriquer les produits, les sérums et les crèmes qui finiront par être commercialisés.
Ensuite, on passe à la validation physiologique, c’est-à-dire qu’on fait des tests. Nos produits ont été testés sur plus de 1 300 personnes pour prouver leur innocuité et leur efficacité. Enfin, la dernière étape est la fabrication. Très peu de sociétés de soins de la peau possèdent leurs propres usines de fabrication, mais chez nous, la précision requise pour la formule de AVL SOM3 et chaque ingrédient est vérifiée deux fois par deux techniciens qui s’assurent que tout est exact et dans les bonnes quantités. Tout est fait au Canada. Et comme je le disais, tout ce processus est intégré à la société. C’est ce fardeau, cette rigueur qui y est associée. Mais pour nous, c’est la voie qui nous permet de fabriquer les produits qui seront les plus avantageux pour la clientèle. Cette rigueur scientifique, combinée à des tests cliniques et à des connaissances issues de l’intelligence artificielle, nous permet vraiment de proposer des formules qui ne sont pas seulement à la mode, mais qui sont scientifiquement précises et axées sur l’efficacité.
Oliver Chen :
Josh, en ce qui concerne les tests, qu’est-ce qui est le plus important pour nous de savoir sur ce que vous faites là-bas? Quand vous pensez à la croissance à venir, qu’est-ce qui est important pour vous également?
John Smith :
Les tests sont essentiels. Pour le consommateur, choisir un produit, c’est prendre un risque. Ils ou elles veulent être sûrs que ce produit va être efficace. Donc notre priorité, c’est de répondre à ses attentes. C’est pourquoi, dès le début, nous avons investi massivement dans les tests qui commencent bien sûr au niveau moléculaire. Nous avons effectué des tests en laboratoire pour prouver l’efficacité de AVL SOM3, puis nous l’avons testé sur différentes personnes afin de voir comment il fonctionne dans la réalité. En fin de compte, nous considérons cette marque comme une marque générationnelle. Vous pouvez l’utiliser à toutes les étapes de votre vie, que vous soyez dans la vingtaine, la trentaine ou la soixantaine, que vous voyiez ou non les signes de vieillissement.
De plus, nous avons toujours considéré cette marque comme multigénérationnelle, ce qui signifie que mon objectif personnel est que mon fils et ma fille, ainsi que leurs enfants et petits-enfants, l’utilisent un jour. Autrement dit, nous essayons de créer une relation à long terme avec notre clientèle. Et au cœur de cette relation se trouve la confiance. C’est pourquoi, lorsque les gens viennent nous voir, même si nous sommes encore une nouvelle marque, nous voulons leur faire savoir que nous sommes là pour durer. Nous mettons en œuvre les tests et les innovations biologiques dont Ami a parlé, mais ce sont les tests qui font foi. Ils montrent aux gens que nous croyons aux produits que nous leur proposons, et qu’ils donnent de vrais résultats. C’est essentiel pour notre marque. C’est l’un de nos piliers fondamentaux.
Oliver Chen :
Ami, à propos de SOM3 et de la méthode d’optimisation du simplexe, comment croisez-vous cela avec la personnalisation et les besoins potentiellement différents des gens en fonction de qui ils sont et de leur microbiome?
Ami Mezezi :
Je pense que la personnalisation a toujours été un concept important dans le domaine médical. C’est un terme qui me parle particulièrement, car l’autre société que j’ai cofondée s’appelait EvolveGene, et nous étions l’un des premiers acteurs dans le domaine des tests génétiques. La génétique est bien sûr un élément essentiel de la personnalisation, mais le problème avec la médecine personnalisée, c’est qu’elle n’a jamais vraiment vu le jour. Elle n’a jamais vraiment porté ses fruits, car elle n’a jamais atteint son potentiel. Que signifie la personnalisation aujourd’hui dans le domaine des soins de la peau? Il s’agit principalement d’examiner le type de peau. Si vous avez la peau grasse, utilisez ce produit. Si vous avez la peau sèche, utilisez tel autre. La véritable personnalisation consisterait à recueillir de nombreuses données à partir de vos marqueurs génétiques, de vos marqueurs microbiologiques, de vos marqueurs métaboliques, puis à vous proposer une solution personnalisée basée sur toutes ces données.
En sommes-nous déjà là, en tant qu’industrie des soins de la peau personnalisés, de la médecine personnalisée? Non, mais une chose que nous voulions faire chez AVL, c’était de nous rapprocher de véritables soins de la peau personnalisés. Je pense que l’IA joue un rôle important à cet égard. Et SOM3 aussi, d’une certaine façon. SOM3 est une formule complexe qui contient de nombreux actifs permettant de traiter divers problèmes cutanés. Mais ce que nous aimerions faire à l’avenir, c’est personnaliser les formules pour des personnes en particulier en utilisant une grande partie de ces données. Comme je l’ai dit, nous n’en sommes pas encore là. Nous n’en sommes pas là en tant qu’industrie, nous n’en sommes pas là en tant que société, mais c’est quelque chose que nous essayons de réaliser. Et nous espérons y parvenir.
Oliver Chen :
Et Ami, comment AV Laboratories utilise-t-elle l’IA?
Ami Mezezi :
Bonne question, Oliver, merci. Notre marque se concentre sur les soins de la peau, et je pense que l’IA sera particulièrement utile pour améliorer la personnalisation. Actuellement, dans le secteur des soins de la peau, la personnalisation se limite principalement au type de peau. Elle reste très superficielle : il s’agit simplement de déterminer si vous avez la peau grasse ou sèche, puis de vous proposer un produit adapté. Mais comme je viens du domaine de la thérapie génique et de la génétique (j’ai une formation de généticien), je me demande comment on peut utiliser l’IA pour vraiment personnaliser les soins de la peau et la santé en général.
Pour cela, il faut prendre en compte des éléments comme le microbiome, les marqueurs génétiques, les marqueurs métaboliques, les préoccupations générales des gens concernant leur santé, puis utiliser toutes ces données pour créer une solution vraiment personnalisée. Et la seule manière d’y arriver, c’est l’IA. Comme je viens d’un monde d’analyse génétique d’avant l’IA, je pense que c’est vraiment cette révolution qui va permettre de rassembler toutes ces données et de faire de la personnalisation une réalité. Et c’est quelque chose qu’on espère vraiment concrétiser chez AVL.
Oliver Chen :
Ami, quel a été le plus grand défi chez AV Laboratories? Cette aventure entrepreneuriale a été incroyable, et vous avez construit une société incroyablement intégrée verticalement.
Ami Mezezi :
Je pense que la partie la plus difficile pour nous a été le fait que cette aventure était unique, différente de tout ce que nous avions fait auparavant. Comme je l’ai dit, nous venons du domaine de la médecine régénérative, de la thérapie génique. Ici, nous sommes en contact direct avec la clientèle, nous sommes tournés vers elle. Je pense que nous avons dû voir les choses autrement. À certains égards, c’était plus simple, comme je l’ai mentionné à propos du parcours réglementaire. Ces domaines sont très réglementés. J’ai passé la plupart de mon temps dans ces domaines, dans ces sociétés précédentes, à traiter des questions réglementaires. Ici, c’est très différent. Donc, d’une certaine manière, cela a été plus facile, mais d’une autre manière, cela a été plus difficile, simplement parce que nous avons dû réfléchir et fonctionner dans un domaine différent.
C’est là que l’arrivée de Josh a été très précieuse, car même s’il s’agit en grande partie d’une marque clinique, nous voulons également qu’elle soit une marque de luxe. Quand nous avons décidé de créer AVL, nous voulions que ce soit une marque scientifique sexy, pas ennuyeuse. Je pense que ce qui nous caractérise, moi et les autres fondateurs, c’est que nous sommes des scientifiques, mais en même temps, nous ne sommes pas des scientifiques traditionnels. Nous voulions que la marque nous représente un peu aussi. Donc, selon moi, cela n’a pas vraiment été la partie la plus difficile. Je n’ai pas vraiment eu à construire cela, il s’agissait plutôt de penser d’une nouvelle manière.
Oliver Chen :
Josh, cela nous amène à un autre sujet. Que pensez-vous de la distribution et comment envisagez-vous la vente directe à la clientèle par rapport à l’adhésion du milieu dermatologique?
John Smith :
En ce moment, nous vendons exclusivement en direct à la clientèle. Ce qui, selon nous, rend cette marque si intéressante, c’est son caractère unique et sa longévité. L’idée est d’acheter moins de produits et de les utiliser plus efficacement. C’est un argument que cette clientèle n’a pas encore entendu. Nous nous efforçons donc de lui faire découvrir cet aspect et de la guider pas à pas. Et pour nous, le meilleur moyen d’y parvenir est d’utiliser un canal que nous pouvons contrôler. C’est pourquoi nous nous concentrons actuellement sur la vente directe à la clientèle et sur le développement de ce canal. Les dermatologues et les cliniques ont manifesté un vif intérêt pour ce produit. Ils sont très curieux de découvrir cette technologie. Ils sont très intéressés par sa longévité. Ils s’y intéressent également pour les soins post-traitement, par exemple, en complément d’un traitement au laser ou d’autres traitements proposés dans un cabinet dermatologique. Il y a beaucoup d’intérêt dans ce domaine, mais je pense que c’est quelque chose que nous observons actuellement et que nous approfondirons un peu plus tard.
Oliver Chen :
Josh, nous avons aussi abordé d’autres sujets intéressants, et j’ai animé un autre balado sur les exosomes. Si vous ne savez pas ce que sont les exosomes, le NAD+ et leur lien avec AV Laboratories, voici quelques explications.
Ami Mezezi :
Les exosomes sont des vésicules lipidiques remplies de molécules de signalisation, que les cellules libèrent pour communiquer entre elles. Ils contiennent toutes sortes de choses : des ARN messagers, différents types d’ARN et des facteurs de croissance. Nous les utilisons parce que les cellules tau communiquent entre elles. Ces dernières libèrent ces exosomes, d’autres cellules les absorbent, et en réponse, elles déclenchent certaines réactions. Nous n’utilisons pas d’exosomes dans les produits d’AVL. Nous les avons étudiés dans nos précédentes sociétés, mais nous avons certaines réserves. Premièrement, du point de vue de la stabilité, je ne suis pas tout à fait sûr qu’ils soient vraiment stables à température ambiante et qu’ils puissent être transportés dans des crèmes et des produits cosmétiques.
Deuxièmement, j’ai déjà abordé le sujet des produits biologiques dans le domaine des soins de la peau : ces produits déclenchent des réactions dans les cellules, modifient l’expression génétique et poussent les cellules à agir. Les exosomes entrent dans cette catégorie. Aujourd’hui, on a tendance à penser que les exosomes sont intrinsèquement bons et régénérateurs, mais je ne pense pas que ce soit vraiment le cas. Je pense qu’ils pourraient avoir des effets négatifs en aval, mais personne n’en parle vraiment. Il faut savoir que pour obtenir des exosomes, il faut cultiver des cellules dans un milieu de culture. C’est ce que nous faisions dans l’autre société. Une fois les cellules cultivées dans cette solution, elles libèrent ces exosomes, que l’on extrait, filtre et isole.
Les exosomes sont un instantané de la cellule au moment où on les prélève. Donc, si la cellule était stressée parce qu’on ne la cultivait pas correctement ou parce qu’il y avait un problème avec le milieu dans lequel on la cultivait, les exosomes ne sont probablement pas les meilleurs à prélever sur une cellule stressée. C’est un peu technique, mais dans l’ensemble, je pense qu’il y a des effets négatifs potentiels en aval des exosomes qui doivent être étudiés. Je ne pense pas qu’ils soient intrinsèquement régénératifs et toujours aussi formidables que les gens le prétendent. Il y a encore beaucoup de questions à résoudre. Nous ne sommes pas à l’aise à l’idée de les inclure dans nos solutions tant que nous ne voyons pas un rapport risque/performance beaucoup plus élevé et que nous ne disposons pas de beaucoup plus de données pour les inclure, ce qui n’est pas le cas actuellement. La façon dont nous procédons avec SOM3 nous paraît être une option beaucoup plus sûre, plus bénigne et tout aussi efficace que les exosomes.
John Smith :
Pour rebondir là-dessus, beaucoup de marques essaient de se lancer dans le domaine des soins cliniques biotechnologiques avec plein d’ingrédients à la mode, comme l’ADN de saumon, les exosomes, le suif de peau. Cependant, pour nous, la confiance est vraiment essentielle pour construire des relations à long terme avec les clients, mais aussi pour bâtir une société stable et durable, fondée sur la rigueur scientifique. Nous devons donc prouver l’efficacité et la sécurité de nos produits. C’est un engagement que nous avons pris envers notre clientèle, et la validation scientifique de certains de ces ingrédients à la mode n’est tout simplement pas encore là pour nous.
Oliver Chen :
Très intéressant. Qu’en est-il du NAD+? Qu’est-ce que c’est? Fait-il partie de votre formule ou non?
Ami Mezezi :
Notre formule ne contient pas de NAD+. Le NAD+ est un cofacteur présent dans les cellules et utilisé dans de nombreuses réactions cellulaires. Il fait partie du cycle métabolique cellulaire principal. Le NAD+ diminue effectivement avec l’âge. C’est un sujet très en vogue actuellement dans le domaine de la longévité et du bien-être, où tout le monde cherche à augmenter son taux de NAD+. Mais le NAD+ est en soi une grosse molécule. On ne peut pas simplement donner du NAD+ à une cellule. Et comme il est trop gros, il ne peut pas pénétrer dans une cellule. Donc, dans le cadre de nos travaux sur SOM3, nous avons cherché à savoir si SOM3 augmentait ou non le NAD+ dans ces cellules dermiques, dans ces fibroblastes et dans les cellules en général à mesure qu’elles vieillissent. Nous avons découvert qu’il augmente le NAD+ sans avoir à lui en ajouter directement, ce qui ne fonctionnerait pas. Donc, en général, oui, le NAD+ est important. Il est essentiel de l’augmenter, car il diminue avec l’âge, et je pense que l’une des actions du SOM3 est justement d’augmenter le NAD+.
Oliver Chen :
La longévité est effectivement un thème central dans les discussions, Ami. Pourquoi SOM3 améliore-t-il la longévité?
Ami Mezezi :
Et bien, nous avons toujours des discussions avec Josh et les autres membres de l’équipe sur le fait que nous sommes une marque clinique axée sur la longévité. Mais pour moi, le mot « longévité » a toujours été chargé de sens, car il est très à la mode. Tout le monde s’intéresse au domaine du bien-être et de la longévité. Pour moi, la longévité consiste à être proactif et non réactif. Il ne s’agit pas de dire : « j’ai des rougeurs » ou « j’ai tel problème » et de chercher un produit pour le corriger. Il s’agit plutôt de donner à son corps ce dont il a besoin pour prévenir l’apparition de ces problèmes. C’est donc une marque axée sur la longévité, car c’est une formule proactive. C’est une formule complexe. Beaucoup de travail a été nécessaire pour la mettre au point. Elle contient de nombreux actifs qui traitent de nombreux problèmes cutanés. Elle traite de nombreux problèmes en aval et les prévient avant qu’ils ne surviennent. Voilà donc ce qu’est pour moi la longévité, et pourquoi il s’agit d’une marque axée sur la longévité, car c’est une solution proactive et non réactive.
Oliver Chen :
Josh, qu’en est-il de votre stratégie marketing actuelle et de votre approche en matière de dépenses liées à l’acquisition de clients? Le secteur des soins de la peau est très concurrentiel et nécessite beaucoup de confiance et de relations.
John Smith :
C’est vrai, et je pense que l’une des difficultés majeures de cette marque réside dans le fait qu’elle est la première à proposer une gamme de produits actifs dont l’efficacité à long terme n’a jamais été démontrée. Pour apporter une solution différente aux problèmes de peau, il faut trouver le moyen de raconter cette histoire aux consommatrices et consommateurs. Nous avons constaté qu’une fois que les gens comprennent la technologie et son fonctionnement, ils veulent venir et rester. Et pour nous, c’est ce qui compte le plus : nous voulons établir une relation à long terme, faire comprendre aux gens comment la technologie agit sur leur peau et les fidéliser.
Oliver Chen :
Ami, vous avez réalisé des innovations remarquables chez LifeGlobal et EvolveGene. Comment ces expériences vous ont-elles inspirée pour innover chez AV Laboratories?
Ami Mezezi :
Chez LifeGlobal, nous avons développé des solutions utilisées pour cultiver des cellules souches à des fins de thérapie cellulaire. Quand on met au point ces solutions, il faut y conserver les cellules. Les solutions doivent contenir tout ce dont les cellules ont besoin, tous les nutriments moléculaires nécessaires non seulement pour rester en vie, mais aussi pour se développer afin de pouvoir être utilisées à des fins en aval. Chez LifeGlobal, nous avons vraiment créé une société qui était l’une des meilleures au monde dans ce domaine. Elle a été rachetée en 2018 pour un montant à neuf chiffres. Nous avions une équipe de scientifiques très solide et des capacités de fabrication qui nous permettaient de développer ces solutions. Qu’est-ce que cela nous a apporté? Nous avons vraiment compris comment fonctionnent les cellules, leur nutrition et les molécules dont elles ont besoin. Et cela concerne directement les soins de la peau, car lorsque vous appliquez ces solutions sur votre visage et votre peau, vous faites en réalité la même chose. Vous essayez de leur apporter la bonne nutrition, les bonnes molécules pour être en bonne santé, pour produire du collagène, pour produire de l’élastine.
Après avoir vendu la société, nous avons donc cherché autour de nous et nous avons trouvé dans les soins de la peau un domaine où nous pouvions vraiment appliquer nos connaissances et notre expertise. Nous avons passé cinq ans à étudier les cellules dermiques, les fibroblastes, les kératinocytes, les différents types de peau, à examiner leurs besoins sur les plans métabolique et nutritionnel. Nous avons ensuite élaboré avec soin une formule sophistiquée afin d’apporter à ces cellules tout ce dont elles ont besoin pour être en bonne santé, produire du collagène et de l’élastine, augmenter le NAD+ et faire tout ce qui est nécessaire pour offrir de véritables effets anti-âge et apporter le soutien dont ces cellules ont besoin à mesure que l’on vieillit.
Comme je l’ai dit, nous avons passé cinq ans à tester la formule, à la valider, à l’étudier d’un point de vue cellulaire, à vérifier si elle fait tout ce que nous disons qu’elle fait dans la cellule. Nous l’avons ensuite testée sur 1 400 personnes dans le cadre d’essais cliniques, tant internes qu’externes. Nous avons donc effectué de nombreuses validations et beaucoup de travaux, mais ces formules et SOM3 s’appuient en réalité sur 20 ans de travail préalable chez LifeGlobal. Ces produits sont donc le fruit d’une longue réflexion et de nombreuses connaissances, et nous pensons qu’il s’agit de la formule la plus sophistiquée pour les soins de la peau.
Oliver Chen :
Ami, dans les trois à cinq prochaines années, qu’est-ce qui vous enthousiasme le plus? Avez-vous un dernier mot pour conclure?
Ami Mezezi :
Comme je l’ai dit, c’est l’aspect innovation qui nous anime. Nous sommes fiers de ce que nous avons déjà commercialisé, mais on l’est tout autant par ce que nous développons en ce moment. Nous travaillons chaque jour pour proposer les meilleures solutions possibles en matière de soins de la peau, mais aussi les plus sûres. Comme je l’ai déjà mentionné à plusieurs reprises, la sécurité est un aspect central pour nous. Nous n’utilisons pas les ingrédients les plus tendance et les plus populaires simplement parce qu’ils nous permettent de faire de grandes promesses et qu’ils sont très en vogue actuellement. Nous n’utilisons que des ingrédients auxquels nous croyons vraiment. Mais ce que je trouve particulièrement passionnant, c’est la tendance à rendre la beauté scientifique. Tous les acteurs de ce secteur sont contraints de fonctionner davantage comme des biotechs. Je pense que nous avons notre place dans ce domaine et que nous pouvons y apporter beaucoup. Nous avons beaucoup à offrir et je suis convaincu que nous proposerons les meilleures solutions qui soient.
Pour nous, les trois à cinq prochaines années seront consacrées au déploiement de la gamme complète de produits, à l’innovation de nouvelles solutions et à la progression parallèle à l’évolution de la science et de l’IA. Tout évolue à la vitesse de la lumière aujourd’hui. Les domaines des soins de la peau, de la médecine régénérative, de la science et de l’IA sont tous sur la même voie. Ils mènent tous au même but, et je crois que nous devons être très vigilants pour vraiment contribuer à faire converger ces domaines. On est très enthousiastes et l’avenir s’annonce très prometteur pour AVL.
Oliver Chen :
Ami et Josh, ce fut un réel plaisir de passer du temps avec vous. Il y a tellement de thèmes, ici : de l’optimisation à la réflexion sur ce que signifie réellement la longévité, en passant par une approche proactive des soins de la peau, ainsi que cette approche unique intégrée verticalement, qui combine l’IA, les essais cliniques, l’approvisionnement et l’efficacité du produit. J’ai pris beaucoup de plaisir à en apprendre davantage sur votre produit que j’utilise régulièrement. Merci.
Locutrice 1 :
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Directeur général et analyste de recherche, Biens de consommation, Commerces de détail, Magasins de gamme complète de produits et grands magasins et Magasins spécialisés, TD Cowen
Oliver Chen, CFA
Directeur général et analyste de recherche, Biens de consommation, Commerces de détail, Magasins de gamme complète de produits et grands magasins et Magasins spécialisés, TD Cowen
Oliver Chen, CFA
Directeur général et analyste de recherche, Biens de consommation, Commerces de détail, Magasins de gamme complète de produits et grands magasins et Magasins spécialisés, TD Cowen
Oliver Chen est directeur général et analyste de recherche principal sur les actions, et il s’occupe des produits de détail et de luxe. Sa compréhension approfondie du consommateur et sa capacité à prévoir les dernières tendances et les changements technologiques qui toucheront les espaces des services de détail lui ont permis de se démarquer de ses pairs. Sa vaste couverture et son regard attentif font de lui le partenaire de réflexion des chefs de file des services bancaires de détail et de la marque. Sa couverture du secteur du commerce de détail a donné lieu à de nombreux prix sectoriels et à une couverture médiatique de CNBC, de Bloomberg, du New York Times, du Financial Times, du Barron’s et du Wall Street Journal, entre autres. M. Chen a fait partie du classement de l’équipe All-America Research du magazine Institutional Investor en 2018 et en 2017 à titre d’analyste de premier plan dans le secteur des produits non durables des commerces de détail, des grands magasins et des magasins spécialisés. M. Chen a également été choisi comme une personne d’influence de premier plan dans le secteur du commerce de détail; son nom figure sur la List of People Shaping Retail’s Future de 2019 de la National Retail Federation Foundation. Considéré comme un expert du secteur, M. Chen prend souvent la parole dans le cadre d’événements clés du secteur. M. Chen est également professeur adjoint en commerce de détail et en marketing à la Columbia Business School, où il a donné le cours New Frontiers in Retail et a reçu une reconnaissance comme étant l’un des Outstanding 50 Asian Americans in Business par le Asian American Business Development Center en 2023, compte tenu de son rôle dans la croissance de l’économie américaine.
Avant de se joindre à TD Cowen en 2014, il a passé sept ans à Citigroup, où il a travaillé dans un vaste éventail de commerces de détail aux États-Unis, notamment des magasins spécialisés, de vêtements, de chaussures et de textiles, des magasins de luxe, des grands magasins et des grandes lignes. Avant Citigroup, il a travaillé à la division de recherche sur les placements à UBS, au sein du groupe de planification stratégique/des fusions et acquisitions mondiales de PepsiCo International et au sein du groupe des fusions et acquisitions de produits grand public/de commerces de détail à JPMorgan.
M. Chen est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires de l’Université de Georgetown et d’une maîtrise en administration des affaires de la Wharton School de l’Université de Pennsylvanie, et il détient le titre de CFA. À la Wharton School, M. Chen a été récipiendaire du Jay H. Baker Retail Award pour son influence dans le secteur du commerce de détail et a été cofondateur du Wharton Retail Club. Il est également membre du PhD Retail Research Review Committee pour le Jay H. Baker Retailing Center de la Wharton School. En 2017, M. Chen a été reconnu dans la liste 40 Under 40 des anciens étudiants les plus brillants de la Wharton School.
La passion de M. Chen pour le secteur a commencé à l’âge de 12 ans lorsqu’il a commencé à travailler avec ses parents dans leur commerce de détail à Natchitoches, en Louisiane.